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Violence. La peinture impose une image.
Une toile fermée devant un spectateur immobile.
Les mots, la musique, font naître des images.
La peinture est un dictateur : C’est ainsi, dit-elle.
Le photographie garde sa subjectivité : l’instant est saisi mais tout le monde le sait. Le réel existe tout autours, même un réel imaginaire.
La peinture ne laisse pas de place autours d’elle. Vaniteuse.
Il faut l’ouvrir.
Le mouvement de la peinture, le mouvement du spectateur, qu’il puisse agir.